Ostéopathie

Au milieu des années 60, en rébellion contre le système d’éducation classique, je passe le concours d’entrée dans les écoles de kinésithérapie. Major à l’entrée, major à la sortie. Je crois alors "tout savoir" des techniques manuelles. Installé en cabinet de ville, je déchante très vite.

En 1971, ma sœur Lionelle, ostéopathe, vient travailler dans mon cabinet. Je lui confie mes cas les plus difficiles et observe comment elle les traite. Je constate que, pour bien des problèmes (dos, migraines, entorses...), l’ostéopathie donne des résultats plus satisfaisants et plus rapides que la kinésithérapie.

Au début des années 1970, l’ostéopathie - pratique obscure et méconnue - est déconsidérée. Pour pouvoir la pratiquer sans problème juridique, je débute des études de médecine et d’ostéopathie. C’est donc en tant que médecin que j’exerce, avec un diplôme inter-universitaire d’ostéopathie. Depuis une trentaine d’années, j’enseigne la sémiologie dans les écoles d’ostéopathie. Je présente également l’ostéopathie dans le cadre du diplôme universitaire de pathologies neuro-fonctionnelles à Dijon, université de Bourgogne.

Historique de l’ostéopathie en France
Extraits du mémoire "Les ostéopathes D.O.MROF dans le panorama ostéopathique français en 2001" réalisé par Laurent Messeguer, ostéopathe D.O.MROF.


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